Je pense que vous le savez mieux que moi, mais je juge utile de vous le rapeller que pas mal d'étrangers s'en sont pris à la cité.
Aussi, Ma Reine, je pense qu'il serait sage de mieux la protéger. je veux dire, vous ne voulez quans même pas que l'oeuvre de votre illustre mari disparaissent en raison de votre hospitalité envers des personnes malsaines et mal intentionnées... Je me propose pour remédier à ce problème, Ma reine...
*Il s'inclina de nouveau pofondément*
Et... En ce qui concerne votre fils, Majesté; si personne ne peut lui faire entendre raison, laisser moi donc m'occuper de ceci. Il vient peut-être de perdre sa fiancée, cel ne l'empêche pas de prendre ma servante Eloïse pour épouse. Je comprends, vous vous inquiètez pour lui, toute mère ferai de même pour son enfant, et vous vous inquiètez très justement, votre attitude est honorable : permettez-moi alors de le surveiller, j'en serai honoré... Mon dévouement est votre, vous savez que vous pouvez me faire confiance.
*Le Vicomte avait prononcé ces paroles d'une voix suave et lente : un ton grave, des mots envoûtants. La reine le regardait, presque en admiration*