L'heure est venue de partir

* Toutes les affaires étaient prêtes : ils n'avaient pas pris grand chose, mais le strict necessaire : les armes, quelques vêtements et de la nourriture pour tenir le coup jusqu'à la prochaine ville. *

Le chateau doit être presque vide, c'est le moment. La porte principale est bondée par les habitants et les invités, il y a une porte derrière le hall qui mène au dehors, non?... C'est par là que nous passerons...
Guide-moi, ma gardienne de prison... J'aime les femmes qui mènent la danse...

* de nouveau il ria : de toute manière, ils s'en allaient, tout leur était permis *

* Laralith éclata de rire *

Tu es d'humeur joviale aujourd'hui mais je ne te permets pas de me nommer "gardienne de prison", bel hybride...

* Elle se glissa jusqu'à ses lèvres et y déposa un baiser *

Cela nuit à ma féminité...

* Trève de plaisanterie, Laralith rengaina l'épée qui trônait sur la seule table de sa chambre dans son fourreau puis l'accrocha à son ceinturon. Elle mit sa cape et se retourna vers Dekar *

Allons-y.

Pourvu qu'on ne croise pas Delacroix en chemin...



Suite dans le hall