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| Réalité | |
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Victor Delacroix Vicomte et chevalier
Nombre de messages : 275 Date d'inscription : 06/06/2005
| Sujet: Réalité Dim 9 Sep - 1:24 | |
| * Félizia... Félizia... Il entra dans le chateau, se dirigeant vers ses appartements. Ma tendre Félizia L'eau pénétrait déjà le palais, les couloirs étaient déserts. C'est l'heure... Il arriva à sa chambre, y entra rapidement pour chercher sa cousine. L'heure de partir. Le Vicomte n'entendait pas l'averse dehors, ni les cris des gens. Les fantômes sont partis... Obsédé par ses propres pensées, il continua de chercher Félizia. Les chimères aussi... Elle n'était pas dans la chambre, il inspecta la salle de bain. Où-es-tu? Seul le balcon n'avait pas été inspecté. Sur le grand balcon il alla, mais il n'y avait personne. Il ne donnait qu'une vue sur la ville inondée, les corps flottant des conspirants noyés; certains tentaient d'échapper à l'eau en grimpant sur les toits. De là, on voyait flotter le corps d'Eloïse dans sa belle robe de mariée, et sa traîne l'auréolait. Personne sur le balcon. Il lui avait dit de ne pas bouger. Il était là, trempé, quelques gouttes de sang s'écoulaient de sa main. Terrible femme de mes sombres jours, où es-tu?!* | |
| | | Félizia Delacroix Propriétaire
Nombre de messages : 190 Date d'inscription : 12/02/2006
| Sujet: Re: Réalité Dim 9 Sep - 11:52 | |
| * Terrorisée, Félizia courait du plus vite qu'elle pouvait malgré l'eau qui entravait ses jambes. Plus rien n'importait sauf lui, peu importait toute cette mascarade pourvu qu'il fut en vie...
Victor
Elle monta les escaliers qui menaient aux appartements de son tendre cousin, trébucha puis tomba sur les genoux. Les larmes qui coulaient sur son visage diaphane se mêlaient aux gouttes d'eau de pluie et passaient inapperçues. Elle se releva et chancela jusqu'aux appartements du Vicomte. S'arrêtant devant la porte, elle hésita une seconde... Puis l'ouvrit avec toutes les forces qui lui restaient, la faisant claquer contre le mur.
Victor
Félizia se tenait adossée à l'encadrure de la porte et reprenait son souffle par de petites inspirations rauques. Sa belle robe blanche était trempée par la pluie et dégoulinait sur le sol.
La jeune femme lâcha le chambranle et fit quelques pas vacillants vers son cousin. La vue du sang sur les mains de son aimé l'arrêta soudain. Avait-il tué tous ces gens ? Toutes ces rumeurs... Etait-ce donc vrai ? Lui avait-il menti tout ce temps ? Mais... Pourquoi ?
Elle leva enfin les yeux vers lui mais elle ne put lui offrir qu'un regard empreint de confusion * | |
| | | Victor Delacroix Vicomte et chevalier
Nombre de messages : 275 Date d'inscription : 06/06/2005
| Sujet: Re: Réalité Dim 9 Sep - 19:28 | |
| * Quelqu'un était entré. Il se retourna pour voir la personne, puis, à sa vue, il resta pétrifié. Félizia était trempée; elle est allée dehors. Elle tenait le poignard qu'il lui avait donné... Une conspirante? Non, c'était Félizia... Est-elle sortit?! D'un ton menaçant et autoritaire, il lui adressa la parole : jamais auparavant il ne s'était adressé à elle de la sorte. Quel est ce regard qu'elle avait? Ses yeux emprunts de doutes... Pourquoi? Qu'a-t'elle vu? Sa fureur qui avait laissé sa place à une folie frénétique, se changea en un effarement douloureux. Sa situation était critique, La belle doutait... Et qu'en est-il de la promesse que tu m'as faite?! Tu resteras avec moi, quoi qu'on te dise, quoi que tu entendes... * Qu'as-tu vu? Réponds vite! | |
| | | Félizia Delacroix Propriétaire
Nombre de messages : 190 Date d'inscription : 12/02/2006
| Sujet: Re: Réalité Jeu 13 Sep - 10:23 | |
| * Pourquoi s'adressait-il à elle de la sorte ? Vivait-il le fait qu'elle ne lui ait pas obéï comme une trahison ?
La voix intransigeante du Vicomte acheva de la térroriser... Où était son Victor, bon sang ? Ca n'était pas cet homme là...
Félizia vacilla jusqu'à son cousin, la tête baissée. Sa voix devint chevrotante tandis que ses yeux revinrent vers le Vicomte *
Mais qu'aurais-je dû voir, bon sang !?
* C'était la première fois qu'elle haussait la voix avec son aimé. Sans doute était-ce la peur qui lui en avait donné le courage...
Son regard restait suspendu dans les airs, son corps immobile était parfois pris de petits sursauts mais elle s'acharnait à fixer l'homme pour qui elle donnerait sa vie s'il le fallait. *
Je ne comprends pas...
* Une fois ces mots prononcés, un silence lourd tomba que seul venait perturber le ruissellement de l'eau de pluie sur les fenêtres... * | |
| | | Victor Delacroix Vicomte et chevalier
Nombre de messages : 275 Date d'inscription : 06/06/2005
| Sujet: Re: Réalité Ven 14 Sep - 21:46 | |
| * Alors pourquoi ces regards douteux?Fais-moi confiance et nous sortirons d'ici sans heurts tous les deux Il leva doucement les mains, et vint les poser sur les joues de sa cousine, sa paume bléssée faisant rougir le col de sa robe, car la pluie incessante avait empêcher la plaie de cicatriser. Son amour pour Félizia, et sa crainte pour sa malédiction qui le hante encore, encore, et encore, se mêlaient à la rage qu'il éprouvait pour tous ses conspirants, faisant miroiter dans ses yeux un déséspoir, une affligeante détresse qui ne faisait que supplier Félizia, l'adjurer de suivre sa promesse. * Pourquoi... Félizia?... * Il approcha sa tête de la sienne, les prunelles face à face, leur fronts se touchant * Ne me fais-tu pas confiance, et ignore ce que je te demande du plus profond de mon coeur? * Il prit une grande inspiration * Je t'ai promis... J'ai juré de donner le jour à une réalité que tu projettes, à tes visions d'avenirs, parce que tu les mérites plus que toute autre femme en ce monde... J'ai juré pour cela d'éliminer tous les obstacles à ton rêve pour qu'il puisse naître et grandir... D'effacer les fantômes, les revenants du passé... Les spectres, Félizia!... les spectres... * Il caressa doucement les tempes de sa cousine, les caresses entre-coupées de ses tremblements * Eux tous, ils ont voulu... Ils ont essayé de tout dévoilé... Cette ombre qui a hanté et enténébré ma vie, celle qui a fait de moi un monstre maudit... * Sa voix portait un atroce sanglot, un lourd et long cri, empreint d'une souffrance trop longtemps refoulée, une clameur de damné * Je suis peut-être un monstre, mais je t'aime Félizia! Et je veux vivre à tes côtés, tire-moi encore une fois de la mort, je t'en supplie!... | |
| | | Félizia Delacroix Propriétaire
Nombre de messages : 190 Date d'inscription : 12/02/2006
| Sujet: Re: Réalité Jeu 20 Sep - 18:59 | |
| * Félizia déposa une main tremblante sur le bras du Vicomte. Son corps frissonait de toute part, le froid ne lui laissant aucun répit. Comme elle aurait voulu tout recommencer, revenir au point de départ et changer les choses pour qu'elles ne se passent pas ainsi, et dissiper le chagrin de son cousin d'une simple caresse...
Il n'y avait au fond de ses yeux nul reproche, nulle prière... Elle aurait aimé laisser transparaître une quelconque confiance en elle, faire apparaître l'espoir sur les traits fins de son visage mais si elle essaya, elle n'y parvint pas.
Tout ce qu'elle put offrir à Victor furent des mots ponctués de vérité, de peur mais aussi de tendresse *
Victor, je t'en prie... Oublie cette malédiction, bannis-la de tes pensées, elle te ronge tant...
Tu n'as rien à prouver, mon Amour... Je ne te blâme pas, comment le pourrais-je ?
* Elle entoura de ses bras grelotants la taille de son aimé, le rapprochant ainsi de son corps chétif *
Je n'ai pas oublié la promesse que je t'ai faite ni les mots que je t'ai dit ce jour là... Je resterai à tes côtés quoi qu'il arrive... Alors je t'en supplie, Victor, Cesse de craindre ce que je pourrai entendre car il n'y a rien, rien entends-tu, qui pourrait me pousser à fuir loin de celui que j'aime depuis plus de huit mille ans...
Je veux pas que tu me promettes un avenir radieux car ce serait irréalisable... Chaque ère a ses malheurs, tu le sais autant que moi...
Mais l'adversité ne m'effraie pas tant que c'est à tes côtés que je me tiens... Comprends-tu cela ?
* Elle planta ses yeux dans ceux du Vicomte et un sourire discret s'afficha sur ses lèvres presque bleues *
Je t'aime Victor, Je n'ai jamais aimé un autre que toi... Alors je t'en prie, ne meurs pas, car alors mon serment m'obligerait à te suivre dans les ténèbres... | |
| | | Victor Delacroix Vicomte et chevalier
Nombre de messages : 275 Date d'inscription : 06/06/2005
| Sujet: Re: Réalité Sam 22 Sep - 0:12 | |
| *Moi qui voulais te sauver...* Félizia... *C'est moi le plus alarmé... Serré contre elle, il lui chuchota * Sauve-moi des ténèbres... Arrache moi à ce cauchemar infini, fais moi me reveillé, et que rien de tout ceci ne soit arrivé, je ne veux pas être un monstre! Je ne veux pas... *Mais la malédiction est levée* Je ne veux plus... * Depuis neuf années déjà... * Jamais plus... *Alors pourquoi cela a-t'il continué? Pourquoi?! * Dehors, sur les toits, les conspirants qui s'étaient réfugiés là aperçurent le Vicomte sur le grand balcon, ils le montrèrent du doigt; ils hurlèrent, puis continuèrent ce qu'ils avaient commencé : ils lui criaient encore ce mot assassin. Aussitôt le Vicomte se crispa ; Félizia était là, et entendait. Elle entendait aussi bien qu'il entendait lui-même les cris, et la malédition. Elle ne devait pas entendre... N'écoute pas, par tous les dieux, n'écoute pas*N'écoute pas!! * Delacroix s'empressa d'interdire à tout son de venir à Félizia. Il posa ses mains sur ses petites oreilles, pressant, car elle ne devait rien entendre... Elle ne devait cependant pas avoir mal, ce serait pire que tout, pire que le blasphème des conspirants. Le Vicomte rendait son regard à sa cousine, lui disant la même chose, encore, de ne pas écouter les cris, de ne pas les regarder... Bien qu'elle ne pu pas l'entendre... Elle ne pouvait que regarder les yeux de son cousin, dans lesquels naissaient des larmes brûlantes de culpabilité et d'amour pour elle, Félizia, seul fantôme inofensif, sa seule hantise qu'il désira garder, douce hantise de jeunesse, son unique apparition qui est revenue à la vie. N'écoute pas les fantômes... Ou ils vont t'emporter.
Nous allons partir dès que ce sera fini... Une fois que l'eau les aura tous englouti, ce sera fini.
Attends juste un peu...
Encore un peu...
Que tous les fantômes soient partis.
C'est bientôt fini, je te le promets... Nous avons attendu huit mille ans, mais ces quelques secondes de plus durent plus d'une éternité... Une éternité avec toi, c'est mon seul souhait * | |
| | | lucian Prince d'Atrium
Nombre de messages : 310 Date d'inscription : 06/12/2004
| Sujet: Re: Réalité Sam 22 Sep - 16:24 | |
| * De la salle de soin jusqu'à ses appartements, de ses appartements jusqu'à ceux de Delacroix, Lucian s'était traîné tel un acharné pour prendre à sa lance la pointe en cristal; tout ça pour chasser le Vicomte de ce monde.
Le Vicomte qui venait de noyer Atrium, d'arracher un bras au prince, et de lui briser la mâchoire. Ca commence à faire beaucoup, si on accumule ses meurtres et perversités, non?
La pointe en cristal serrée dans sa main restante, il avançait en faisant bien plus que boiter; il semblait halé, sans pour autant émettre un seul cri ou gémissement de douleur : sa mâchoire cassée et sa joue déchirée ne lui permettait pas. Qu'importe? Toute la douleur qu'il ne pourra extérioriser, il la transformera en rage vengeresse.
Le tuer, le tuer, il fallait le tuer, il fallait en finir avec lui, pour atrium, et pour lui.
Et il fallait se dépécher, d'abord parce que Delacroix risquait de fuir, mais aussi parce que Lucian ne tiendra pas des éons dans l'état où il se trouve. Il lui fallait juste un peu de force pour trouver et tuer Delacroix, un brin de volonté de fer, et un soupçon de chance.
Et bien qu'il ne puisse pas y répondre, la chance lui sourit.
Il était là, sur le balcon, dos tourné, dans les bras de sa cousine, qui avait également la tête baissée. Occasion unique, opportunité inespérée, quelle occurence!
Frappe droit dans le coeur, n'attends pas!
Nul ne su dire ce qui avait guidé la main du Prince, où si c'est tout simplement le Prince qui avait eu raison.
Sans doute les Delacroix se pensaient seuls.
Et d'une impulsion irascible, il planta la pointe de cristal acérée dans le dos du maudit Vicomte, bien pronfondément pour ne pas manquer ce qui lui faisait office de coeur.
Quelques instants plus tard, Lucian semblait délié : il se laissa tomber à genoux, le regard maladif et douloureux, observant à la fois le vide et le Vicomte * | |
| | | Victor Delacroix Vicomte et chevalier
Nombre de messages : 275 Date d'inscription : 06/06/2005
| Sujet: Re: Réalité Lun 24 Sep - 0:05 | |
| * Le Destin en avait voulut ainsi. Il était temps d'expier ses péchés et infâmies. La blessure lui avait instentanément paralysé le corps après l'avoir poussé vers l'avant, comme un sursaut de douleur : à ce moment ses larmes s'échappèrent de ses yeux, qui s'étaient arrêtés face à ceux de sa cousine. La panique qui l'étreignait quelques instants auparavant ne paraissait plus, ses mains posées sur les oreilles de Félizia glissaient le long de son cou et se posèrent sur ses épaules frêles et grelotantes de froid. Il essaya plusieurs fois de respirer sans y parvenir, et à chaque tentative il se crispait plus, émettait un son étouffé, serrant les petites épaules de sa cousine dans ses mains. Le froid commença à s'insinuer dans ses veines : non pas le froid que ressentait sa cousine, du au fait qu'elle était trempée d'eau jusqu'aux os, le froid venait de l'intérieur, et lui ôtait rapidement toutes ses forces. Au plus il tentait de s'appuyer sur Félizia pour ne pas tomber, d'autant plus il sentait ses forces l'abandonner; il bascula en avant, son genoux gauche fléchit, il avança alors l'autre jambe et posa son pied un peu plus loin devant pour garder l'équilibre. Il suffoquait, étranglé par le sang qui avait envahit le poumon transpercé en même tant que le coeur; chaque bouffée se faisait plus douloureuse, jusqu'à ce que sa dernière respiration s'échappe de sa bouche en une grêle de sang qui aspergea Félizia du menton jusqu'au col, comme une brève pluie. L'expulsion brûlante du sang, encore plus douloureuse que l'étouffement, lui fit serrer les dents teintées d'écarlate, et fermer les yeux qu'il plissait fortement. Quelques filets sanguinolents coulèrent de sa bouche, alors qu'il s'efforçait de ne pas tousser le sang qui lui obstruait toute la gorge et qui, dans les dernières palpitations du coeur, se pressait à en jaillir. Ne pouvant se tenir debout plus longtemps, il baissa la tête et son dos se courba; parcourant alors de ses doigts les épaules de Félizia, il tenta de s'y accrocher, et aggripa son vêtement comme il pu, essayant de ne pas les lâcher, tentant de ne pas rester seul à nouveau. Et comme n'ayant plus de force pour rester debout, il peinait tant à retenir le sang dans sa gorge qu'il finit par descendre dans son estomac avant d'être immédiatement repoussé dehors, lui faisant ainsi dégorger tout le sang qu'il retenait, le tout orchestré par un râle sec et étouffé. Epris de froid, et à la fois brûlé par le sang envahissant, il se sentait rongé par un feu glacial, il ne sentait bientôt plus aucun de ses membres. Maintenant... Que je veux vivre... Pourquoi?
Avant, tout ceci n'avait pas d'importance, tout ce à quoi j'aspirais c'était... Je ne veux plus maintenant... Pourquoi maintenant? Félizia... Je ne veux pas mourir. Je ne veux plus mourir! Pourquoi maintenant, alors qu'avant plus rien ne trouvait son sens...
Tout ce que je faisais, n'avais pas de sens... C'était une malédiction, qui avait pour seul but de me faire aimer la mort... Et je voulais mourir aussi.
Et maintenant que la malédiction a disparu, et que j'ai retrouvé ma vie... Félizia... Mais les victimes de la malédiction n'ont pas disparu... Elles sont là, ne s'effaceront jamais, tout comme mes crimes... Comme tout ce que j'ai fait. Je... regrette... Je regrette ce que j'ai fait, tout ce que j'ai fait, je suis prêt à endurer n'importe quoi, mais je vous en conjure, Vous Dieux, laissez-moi Félizia... Permettez-moi de vivre un peu avec elle, c'est tout ce que je veux.
Tout devint flou. Les sons n'étaient plus les mêmes. Une lumière enténébrée s'empara de lui, et fini par l'emporter, lui et sa conscience. C'est tout ce que je veux...
L'eau avait disparue. Il s'effondra du balcon, passant la petite rembarde avant de chuter, et de s'écrouler sur le parvis de la cour, face au sol, inerte. * | |
| | | Félizia Delacroix Propriétaire
Nombre de messages : 190 Date d'inscription : 12/02/2006
| Sujet: Re: Réalité Sam 29 Sep - 14:00 | |
| * Tout s'était passé tellement vite que Félizia n'avait rien vu arriver. Lucian, le pieux en cristal, le sang de Victor dégoulinant sur sa robe immaculée,... Pourtant, la cousine du Vicomte voyait la scène se dérouler encore et encore sous ses yeux effarés. Tout ce sang, toutes ces horreurs ne finiraient jamais, elle le réalisait à présent... Un cri d'horreur s'échappa de sa bouche à cette constatation. Le bonheur n'était pas inscrit dans le destin des Delacroix... Elle essaya de rattraper le corps du Vicomte mais ne put que le voir passer par la fenêtre, ses mains se refermant dans le vide. Sans attendre, elle sortit, heurtant dans sa course le corps du nouveau Roi sans même s'en rendre compte. * Victor... | |
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