besoin de concentration

Tant de violence dans vos gestes et votre voix... Pour ensuite vous donner à moi, et finalement vous soumettre...


* Répondant au baiser d'Amberlë, il s'arrêta soudainement et demanda, triomphant et souriant *

Vous n'avait pas l'intention d'appeller à l'aide, n'est-ce pas?...

Ô beauté sauvage, j'espère pour vous que vous savez supporter l'extase à l'état brut et pur.


* Medich renversa Amberlë sur le dos, serrant fort les poignets de sa charmante prisonnière pour s'assurer qu'elle restera à lui et rien qu'à lui le temps d'un instant...*

Mais bien sûr!!

*Amberlë avait crié celà sans même s'en redre compte! Puis rougissant, elle chercha vite une excuse à donner pour cette exclamation.*

Euh...bien sûr que...euh...que je ne vais pas crier, c'est ça, non, je ne vais pas crier!

Enfin..enfin..enfin...j'ai compri!

*Amberlë embrassa alors Medich pour être sûr qu'il ne ferra pas de remarque sur ses déroutantes paroles...*

* Prolongeant ce baiser tant attendu, Medich souleva ensuite sa tête, et regarda Amberlë en souriant*


Ces lèvres qui m'ont emprisonné telle une mâchoire affamée... Votre désir avide d'en finir le plus vite possible... Je peux vous jurer que ce moment sera pire qu'une eternité de torture; et encore meilleur que n'importe quel plaisir occulte.



* Médich perçu cependant une faille dans le regard d'Amberlë : allait-il avoir une fois pour toute raison d'elle?*

Vous êtes troublée, mon joyau?

*Maintenant forte de ce qu'elle avait compris, le sourire d'Amberlë lui était revenu..*

Considérez-vous toujours les êtres vivante comme des objet, je m'estime bien plus précieuse qu'un simple joyau...

Cela, c'est à moi de le déterminé.


* Medich déshabilla entièrement Amberlë d'un geste violent, puis la contempla quelques instants*

*Amberlë fit une mine malicieuse, l'air de dire "Qu'est ce que tu crois? Je susi canon moi". Puis à son tour,elle entreprit d'ôter les vetements de Medich*

* Au beau milieu de cette nature, l'amour se fit violent.


L'amour?... Non... Tout cela ressemblait plus à une copulation bestiale.

Au beau milieu de l'herbe, près d'un fleuve qui lentement coulait, les plaisirs de la nature et de la luxure se rencontraient, naissant d'un même désir d'union*