rédaction et sombre dessein

Bon... Nous voilà chez toi maintenant. Tu dis que Yuna l'a mal rédigé. A quels endroits?

*il entendit des gens crier de joie dehors*

AH!!!! Mais c'est quoi tout ce bouquan!!??

*il se tint les oreilles*

C'est rien, on a mieux à faire...


* Sibylle se pencha sur le plan*


C'est très simple, D'abord, il faut s'avoir qu'Akordia De Vitare, la récente marquise de Laeth-Ebenh nous informe... ça va jusque là?

Oui, faut dire aussi que jusqu'ici ce n'est pas très compliqué... La suite?

Bien, alors on a mis au point un plan avec Akordia contre le Vicomte et le jouc de tyran qu'il impose ici. Ok?

Jusqu'ici, j'était au courant...

très bien... Voici le plan :


Akordia De Vitare a une amie, Amberlë. Eh bien, le jour des noces de Lucian, ces deux dernières ont une mission. Le Vicomte sera donc dehors pour la surveillance. Akordia et Amberlë vont alors s'introduire dans le château par leurs propres moyens, elles vont aller trouver Félizia Delacroix _ car le Vicomte, tout le monde le sait, ne la laissera pas sortir au cas où si ça tourne mal _ puis elles vont la faire hurler. Ce sera facile car Amberlë à le pouvoir de faire des illusions.

En entendant ce cri, Delacroix va se précipiter à l'intérieur, voir ce qu'a sa cousine. Toute cette divertion nous laissera le temps de mettre toute la ville au courant pour le sacrilège de Delacroix.

Et quand il va revenir, tout le monde le regardera comme un insecte, un sombre mécréant, lui se demandera pourquoi, alors il sera en déroute face à la ville, le silence qui va y règner le temps de quelques secondes sera si lourd pour Delacroix qu'il sera paralysé.

Et c'est là que nous entront en jeu : nous, les juges de Delacroix. Tous autant que nous sommes, pendant ce silence, allons dégaîner nos poignards, puis doucement nous allons nous approcher du Vicomte. Et au moment où il sera encerclé, on se jettera tous sur lui, le poignard à la main.


Alors? comment mettre tout ça sur papier de sorte qu'un nouveau venu comprenne?

Bravo. C'est très bien réfléchit pour quelqu'un de ton âge. Et puis pour la rédaction, n'importe qui comprendrait.
Mais j'ai juste quelques questions :
-Qu'est-ce qu'il se passera si le Vicomte ne sera pas paralisé? Nous pourrions donc pas se rapprocher de lui, et pas conséquence, nous ne pourrions pas le poignarder.
-Et puis, il a aussi cette variante : et si le Vicomte se rends compte de tout ce qu'on magnigance et qu'il prépare la contre-attaque, c'est aussi possible.
-Qu'est-ce qu'il se passera si Akordia et Amberlë échouent? Le plan ne pourra pas se finire et puis tout tomberra à l'eau.
-Et qu'est-ce que tu fais si il y des gens qui se dégonflent ou qui ne veulent pas, finalement, se révolter contre leur Vicomte bien aimé?
A ta place, je rédigerais des plans de secours. Ca se révélerait très utile.

Mais t'es bête ou quoi?! t'as cassé tout notre plan!


* Elle lui donna quelques coups de poings dans le bras*

t'es nul!

Aï-eeee!!

*il recula d'un pied car les coups que Sibylle lui avait donnée lui avaient fait mal*

Tu me demande mon avis, je te le donne! C'est pas une raison pour me frapper! T'aurais préféré que je ne dise rien? Il faudrait perfectionner le plan et réfléchir aux petits détails qui pourraient changer tout le coure des choses.

*il se frottait le bras ou le Sibylle avait donner plusieurs coup de poing*

Tu m'as vraiment fait mal...!

M'en fiche!

je te croyais pas aussi rabat-joie, Ysari!!!

Rabat-joie? Mais qu'est-ce qui te prends? D'abors tu me frappe, puis tu me traite de rabat-joie! Mais t'as pas fini?

Tu casses tout notre plan!!


T'es nul, voilà tout!

*il ne savait plus quoi dire. Les mots de Sibylle lui résonnaient dans la tête :"Tu es nul, voilà tout!". Ces mots lui coupaient la voix. Mais, ce n'est qu'une petite fille qui lui dit ça. Une jeune fille... rien qu'une jeune fille... Il était profondement véxé.
Pourquoi je devrais croire ses mots? Je ne suis pas nul! Je ne devrais pas me sentir bléssé...*

Je...

*malgrès ses pensées, il n'arriva pas à dire quoi que se soit. Il baissa la tête, peut-être de honte*

Vient, on va en parler avec Yuna...

* Sibylle fit suivre Ysari le même chemin qu'elle en le tenant par la main, chez Yuna*


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