*Arrive près du moulin et cherche un personne ...

... qui travaille.*

*du bruit se fait entendre de derrière une porte, un cri étouffé puis plus rien*

* Regarde la porte du moulin et s'approche en courant. Ouvre subitement la porte.*

*tient une femme dans ses bras, apparement inerte*
Que faîtes-vous ici?

* Fixe la fille inerte et regard l'homme en face de lui*
*ton très agressif et menaçant : * Que lui avez vous fait ?!

De quoi vous vous mêlez?! elle s'est évanouie, cela lui arrive souvent.

* Il egarde l'homme et le juge de haut en bas. Son apparence lui est sympathique, mais un doute subsiste toujours en lui. Cette histoire d'évanouïssement le plonge plus que jamais dans une suspition énorme. *
* ton froid et calme * : Quelle était alors ce crie ? Il est impossible qu'une personne qui s'évanouïe simplement puisse pousser un crie aussi horrible. Et j'en sais quelque chose. Ce crie n'était pas un crie de peur ou de surprise. Comment pourrais-je vous croire ?

En quoi cela vous regarde-t'il?
Elle est ma femme, je la connais, et je vous dis qu'elle s'est evanouit.
D'autres questions?

*dit-il en prenant la femme sur les bras*

* regarde l'homme et et se place devant la porte *
* sans quitter l'homme du regard * : Non, mais je ne vous laisserez pas partir avant que vous m'ayez prouvé que vous n'êtes pas coupable d'un meutre !

Mais je n'ai rien à vous prouver...
*esquisse un sourire sadique*
Ce sont des problèmes que vous cherchez, ou un héroïsme illusoir?

* Son regard neutre laisse place à un regard méfiant. Il y avait quelque chose de pas très clair dans cet homme. Il ne savait pas pourquoi, mais l'aura que dégageait ce personnage était plus que troublant. *
* Garde son ton froid et calme * : Ni l'un ni l'autre. Je ne suis pas adepte des problèmes, et le staut de héros ne m'interresse pas. Mais mon instinct me dit de me méfier de vous, malgré votre apparence plus que sympathique. Et je n'ais, pour l'instant, jamais été trompé par cet instinct.
* Prends alors un ton décidé * : Je ne bougerais pas avant que vous ne m'ayez montré quoi que ce soit qui montre votre bonne foi.

Et que dois-je donc montrer? mon alliance ou la sienne?
Vous voulez peut-être voir son ventre gonflé d'un enfant de moi?
Vous n'avez pas d'autre désir?
Non, c'est parfait, ça tombe bien, je m'en vais.
*la femme dans ses bras, se dirige vers la sorite*

* Il claque alors sa main contre l'embrasure de la porte. Son air est toujours méfiant, mais il ne se laisse pas aller à la colère, de peur de se tromper malgré tous. *
Vous n'avez pas encore compris, je crois. Je viens d'arriver en ces lieux, certes, mais j'ais appris à ne faire confiance à personne. Je vous laisserez partir que lorsque vous me montrerez que vous êtes bien son époux ! Ou alors ...
* Ne finis pas sa phrase et semble réfléchir. *

*respire un bon coup*
Dîtes, vous cherchez à m'enerver?...ou.... à faire votre malin?
Ma patience a des limites. Laissez-moi passer.

* Regarde attentivement l'homme. Leur agacement étant commun, et cela ne présageant rien de bon, il décide, malgré son désir, de s'écarter de la porte, mais ne quitte pas l'homme de ses yeux méfiants. Il indique, par un signe de la main, que l'homme peut sortir. *

Suite à la herse

*sort du moulin*
*du sang s'ecoule à travers ses doigts qui sont sur le cou de la femme*
*une fois sortit, se dirige derriere le moulin, dépose la femme contre la paroi, dépose un baiser sur ses lèvres puis s'en va en direction de la ville*

* Une fois l'homme sortis, Jad eu un malaise. La faim lui rongeait le ventre. Il s'avait que, même si il était en colère, son état aurait était un gros désavantage.
Après un instant de doute intense, il sorta du moulin et se dirigea vers les champs, où il espéré enfin trouver du travail, et de quoi se nourrir. *