Dans la nouvelle chambre de Jad.

* Jad prit la bouteille et but un longue gorgée. Un douce chaleur se répendit dans son estomac. Se léchant les babines, il dit :*
C'est déilicieux. Qu'est-ce que c'est ?

Une mélange de sucre et de violette glacée... Yamy avait dit que ce mélange apaise les malédictions...

Il en buvait beaucoup.

* Jad vida d'un trait la petite bouteille La chaleur se répandit partout dans son corps, principalement sur chacune de ses cicatrices. Voila qui était plus agréable que l'essence de rose.* Il posa la fiole vide sur la table de nuit et dit : *
Merci, majesté.
* Il se leva et fit quelques sauts. Apparement, la douleur dans tous ses membres avait disparut. Il pouvait maintenant marcher tranquilement. *
Il est vrai que c'est efficace contre les malédiction. Sans vouloir être irespectueux envers votre defunt mari, avait-il des dons d'apothicaires ?

Un peu, il savait surtout ce qui etait bon pour lui...

Il a toujours été très prévoyant pour tout, nous avons de tout ici, comme médicaments... Il y a beaucoup d'éléxirs pour les malédictions.

Il devait être un roi des plus respectés.
* Jad se rendit compte que ce n'était pas ses affaires et ajouta : *
Excusez moi, vous ne voulez peut-être pas vous rappeler de... non, ce n'est rien. Je n'ai pas à ma mêler de votre vie. Pardonez moi, majesté.

Je n'ai pas honte de parler de mon défunt mari. Cela ne me rend pas triste, au contraire, cela me fait très plaisir de parler de lui.

Vous avez de la chance de pouvoir parler du passé sans avoir à pleurer sans arrêt. Pourriez en profiter pour moi, si cela ne vous gêne pas bien entendu.
* Ils souriait avec douceur, une douceur inhabituelle. *

Que voulez-vous donc savoir sur Yamy?

Ce que vous pensez que je peux savoir. On ne connaît bien les gens que si eux parlent d'eux.
* Il se remit assit et écouta avec attention le récit de la reine qui devait venir. *

C'était un roi respecté dans sa cité... Personne n'avait connaissance de son titre dans les autres contrées, pour reprendre ce que vous disiez.

Comme votre cité est une cité cachée, cela est tout à fait évident.

Cela n'a pas empêché les attaques...

Les attaques ? Quelles attaques ?

Les attaques des amazones, bien sûr...

* Jad avait remarqué une legère tristesse dans les yeux de la reine *
Et que c'est-il passé ? Ne me dite pas que...

...*La reine se tortillait les doigts*

Que croyez-vous?

* Jad fut compatissent. Il baissa la tête et dit : *
Je suis désoler, majesté Je ne savais pas que... votre mari... Je n'aurais jamais dû vous laissez en parler.

Je pensais que tout le monde à Atrium le savait... Vous ne me gêner pas, bien au contraire...

*Elle regarda le pendule*

Il est l'heure pour moi de me rendre à la nécropole...

Veuillez m'excuser si je ne peux vous accompagner : les morts enterré m'ont toujours fait un noeuds au creux de l'estomac.
* Il se leva, s'inclina et se rassit. *

Je vais donc y aller...

*la reine s'en alla vers la nécropole*

* Au même moment, Lucian entra dans la chambre par la fenêtre*

Jad, C'est vous Jad? Je suis le prince Lucian, hériter de cette cité. Je dois vous parler.

* Se lève en sursaut et s'incline *
Bonjour, prince. Je suis heureux de vous voir. Que puis-je pour vous rendre service ?
* Il vit que lucian n'était pas entré par la porte et se tourna vers la fenêtre. Il fit un sourire. *
Aussi intrepide que moi à votre âge. Donc, que puis-je pour vous ?

Vous allez devenir chevalier? Vous êtes l'apprenti du Vicomte, c'est bien cela?

A mon grand désarroi, oui. Mais vous devriez le savoir, du moins, je le supposait.
* Il se rassit, encore un peu fatigué. *
Dites moi ce qui vous tracas, votre majesté.

je vais être direct avec vous: je hais profondément le Vicomte, j'ai peur pour ma mère lorsqu'il est là. Je m'inquiète dès qu'un personnage louche l'approche.

Aussi, je connais vos motivations: elles sont nobles, et votre devouement l'est tout autant; cependant, vous êtes sous la coupe du Vicomte maintenant, il va vous surveiller, jusqu'au moindre faux pas!... Jad, vous devez faire attention.

Vous avez egalement dit que vous protègeriez ma mère, en tant que chevalier; pouvez-vous le jurer?